Parfois, nous sommes surpris de voir à quel point les gens qui nous entourent peuvent se mettre dans des états de stress importants pour des choses qui sont, finalement, bien secondaires. Leurs émotions sont parfois assez comparables face à un véritable problème ou pour des « peccadilles ». Il semble qu’il n’y ait plus véritablement de conscience des priorités, mais que leurs frustrations et leurs conditionnements se répercutent, indifféremment, sur le premier objet d’insatisfaction venue.