J’ai toujours aimé les postures de déploiement. Ce moment où la danseuse se grandit, comme si un fil au-dessus de sa tête semblait la suspendre. Quand le sprinter sort des blocks et passe d’un « pas grand-chose » à presque… tout ! Quand l’athlète de force, accroupi sous la charge comme dans une attitude de soumission, finit par...